Nom : Ollivander. S'il est une famille célèbre, c'est bien la tienne. Tous les sorciers passent un jour la porte de la boutique familiale. Tu aimes ce nom, l'héritage qu'il transporte. Pour rien au monde tu ne souillerais la mémoire de tes ancêtres. Prénom(s) : Gwenog. Tu le sais, c'est un prénom de filles. Tu as suffisamment entendu de moqueries à ce sujet. Mais ta vieille tante Gwenog meurt quelques jours avant ta naissance, et tes parents se font un devoir de l'honorer à leur façon. Ton second prénom est plus classique. Marcus, comme le père de ta mère. Un moldu que tu n'as jamais rencontré. Surnom : On aurait pu t'appeler Gwen, mais les gens préfèrent Ollie. Âge du personnage : Vingt neuf ans. Date et lieu de naissance : Tu es né dans l'hopital pour sorciers de Ste Mangouste, à Londres. Un douze mars, alors que la pluie et la brume avaient envahi la ville, commen souvent. Origines : On raconte que les Ollivander sont venus avec les romains, pendant l'Antiquité. Ce qui fait de ton clan l'un des plus anciens qui soit. Un britannique pur souche, un gallois, qui plus est, comme en témoigne les prénoms de certains de tes aïeux. Nature du sang : ton père est un sang pur, ta mère une née moldue. De ce fait, ton sang s'en trouve mêlé. Emploi : Ta famille a fait de la fabrication de baguettes magiques sa spécialité. A l'image de ton clan, tu es devenu fabricant de baguettes. Mais quand le moment fut venu de reprendre l'affaire familiale, tu as préféré céder ta place à ton cadet. Tu as d'autres choses en tête, et te refuse à saboter l'empire familial. Statut civil : Célibataire. Toi, le maudit, ne t'imagine pas vivre une passion dévorante. Plus maintenant. Patronus : C'est sous la forme d'un renard que ton patronus se manifeste. Epouvantard : une sphère blanche, ronde et pleine. La lune, méconnaissable pour quiconque n'est pas toi. Mais toi, tu ne peux t'y tromper. La pleine lune est ta plus grande crainte. La bestialité qu'elle engendre, ton pire ennemi. Particularité(s) : Tu es un lycan. Un loup-garou. Sans cesse la proie de cette sauvagerie qui s'empare de toi chaque mois. Tu caches ce déshonneur au plus grand nombre, et ce depuis plusieurs années déjà. Anecdote(s) : écrire ici.